Newsletter Social – Novembre 2023

Revalorisation du PSS

Le plafond de sécurité sociale, montant maximal des rémunérations ou gains à prendre en compte pour le calcul de certaines cotisations, principalement les cotisations d’assurance vieillesse de base, et servant également de référence pour la définition de l’assiette de certaines contributions et le calcul des droits sociaux. augmentera au 1er janvier 2024, et sera donc fixé comme suit :

Annuel46 368 €
Trimestriel11 592 €
Mensuel3 864 €
Quinzaine1 932 €
Hebdomadaire892 €
Journalier213 €
Horaire29 €

Vers un renforcement du contrôle des arrêts de travail

Afin de lutter contre la hausse des indemnités journalières versées par l’assurance maladie, le projet de loi de financement de la Sécurité sociale pour 2024 prévoit notamment :

– la suspension automatique des IJSS à compter du rapport du médecin contrôleur délégué par l’employeur et concluant au caractère injustifié de l’arrêt, les assurés bénéficiant toutefois d’un recours devant le service médical ;

– l’encadrement des prescriptions d’arrêts de travail en téléconsultation, limités à 3 jours, sauf exceptions. La prescription d’un arrêt de travail plus long nécessiterait un examen physique chez le professionnel de santé.

Revalorisation de la gratification des stagiaires

A partir du 1er janvier 2024, le montant minimum de la gratification versée aux stagiaires pour un stage de plus de deux mois devrait être majoré.

En effet, sauf dispositions conventionnelles plus favorables,  le montant minimum de cette gratification est égal à 15 % du plafond horaire de la sécurité sociale. Ce plafond étant revalorisé en 2024, la gratification des stagiaires devrait suivre cette évolution, et passer à 4,35 euros par heure à partir du 1er janvier 2024 (soit 29 euros x 15 %) contre 4,05 euros par heure en 2023.

Ces chiffres doivent toutefois être confirmés par un arrêté publié au journal officiel avant la fin de l’année.

NOUVEAUTÉS JURISPRUDENTIELLES

Infraction routière hors temps de travail avec le véhicule de l’entreprise

Les infractions au Code de la route reprochées au salarié, commises durant les temps de trajet durant lesquels il n’était pas à la disposition de l’employeur, alors que le véhicule mis à sa disposition n’a subi aucun dommage et que le comportement de l’intéressé n’a eu aucune incidence sur les obligations découlant de son contrat de travail en tant que mécanicien, ne peuvent justifier un licenciement disciplinaire dans la mesure où elles ne relèvent pas d’une méconnaissance par l’intéressé de ses obligations découlant de son contrat, ni comme se rattachant à sa vie professionnelle.
Cass. soc. 4-10-2023 n° 21-25.421 F-B.
Utilisation d’un moyen de preuve illicite

Une preuve illicite peut être recevable si l’employeur invoque le droit à la preuve et le caractère équitable de la procédure, et s’il justifie :

  • de la légitimité du contrôle et des raisons concrètes justifiant le recours à la surveillance et son ampleur ;
  • que la faute du salarié ne pouvait pas être établie par un moyen plus respectueux de sa vie personnelle ;
  • que l’atteinte à sa vie personnelle est proportionnée au but recherché.

La production de photographies extraites du compte Messenger portant atteinte à la vie privée de la salariée était indispensable à l’exercice du droit à la preuve et proportionnée au but poursuivi, soit la défense de l’intérêt légitime de l’employeur à la protection des patients confiés aux infirmières employées dans son établissement, et le grief tiré de la consommation et l’introduction d’alcool au sein de l’hôpital étant établi par d’autres éléments de preuve, la cour d’appel a pu décider que ces éléments de preuve étaient recevables.

Cass. soc. 4-10-2023 n° 21-25.452 F-D et 22-18.217 F-D

Est irrecevable l’enregistrement vidéo montrant le salarié dans le local chauffeurs en train de fumer, dès lors que ce local n’était pas interdit aux salariés pendant leurs pauses et que la caméra permettait de filmer l’ensemble de la pièce et notamment le distributeur de boissons et les chaises et pas uniquement les entrées et sorties de et vers l’extérieur, que le système de vidéosurveillance avait été déclaré à la Cnil comme ayant une finalité de vidéo protection « afin d’assurer la sécurité du personnel et des biens », alors qu’il permettait également de surveiller le personnel et contrôler ses horaires de travail via ses temps de repos, sans information des salariés.
Cass. soc. 4-10-2023 n° 22-18.105 F-D
Sanction en cas d’exercice d’une activité durant un arrêt de travail

Commet une faute grave justifiant son licenciement le salarié qui exerce durant son arrêt de travail pour maladie une activité artistique non bénévole, sans avoir demandé l’autorisation préalable à son employeur, alors qu’il était lié par une clause interdisant le cumul d’emplois, sauf activités bénévoles, et exigeant l’autorisation préalable de l’employeur pour exercer une activité accessoire.
CA Lyon 27-9-2023 n° 20/04490
Priorité d’accès à un emploi à temps plein : attention à bien la faire figurer au contrat !

Faute de mentionner cette priorité d’accès dans un contrat à temps partiel, l’employeur ne donne pas à son salarié les informations nécessaires à ce dernier pour valablement apprécier son évolution possible au sein de la société, ce qui lui cause nécessairement un préjudice et donne lieu à l’octroi de dommages et intérêts pour perte de chance.
CA Paris 8-6-2023 n° 21/02538
Dépassement des durées maximales de travail

En l’espèce, un conducteur de transports ayant le statut de travailleur de nuit avait, suite à son licenciement, demandé le paiement d’une indemnité pour non-respect des durées maximales de travail. Selon la Cour de cassation, le salarié n’a pas à démontrer un préjudice, puisque le dépassement de la durée maximale de travail ouvre, à lui seul, droit à la réparation.
Cass. soc., 27 sept. 2023, n° 21-24.782, F-B
Le saviez-vous ?

Dans le cadre d’un contrôle, l’agent de l’Urssaf peut demander à l’employeur tous les documents et éléments nécessaires à sa mission et solliciter, le cas échéant, la communication d’éléments complémentaires.

En l’espèce, l’agent avait demandé à la comptable de l’entreprise un tableau relatif à la réduction générale de cotisations, sans avoir reçu l’autorisation préalable de l’employeur et sans que la lettre d’observations ne mentionne le tableau.

Pour la Cour de cassation, l’inspecteur du recouvrement ne peut pas, à peine de nullité du contrôle et du redressement, se faire communiquer un document par un salarié n’ayant pas reçu de délégation de l’employeur à cette fin.

Cass 2e civ. 28-9-2023 n° 21-21.633 F-B

Projet de Loi de Finances 2024

I. IMPOSITION DES RESULTATS

  • Transposition en droit interne de la Directive « PILIER 2 » ou l’imposition minimum mondiale :

L’article 4 du projet de loi de finances transpose en droit interne la Directive dite « Pilier 2 » UE 2022/2523 du 14 décembre 2022, en soumettant à une imposition minimum de 15 % les groupes multinationaux ou nationaux (groupe dont le chiffre d’affaires est égal ou supérieur à 750 millions au cours d’aux moins deux des quatre exercices passés).

Dans le cas où le taux effectif d’imposition d’un groupe multinational ou national serait inférieur dans un Etat à 15 %, un impôt complémentaire devrait être versé.

  • Crédit d’impôt investissement industrie verte

Ce crédit d’impôt investissement dans l’industrie verte, ou « C3IV », s’appliquerait aux entreprises réalisant des investissements tant corporels (bâtiments, installations, équipements, machines et terrains d’assise nécessaires au fonctionnement de ces derniers équipements) qu’incorporels (droits de brevet, licences, savoir-faire ou autres droits de propriété intellectuelle) engagés pour leurs activités contribuant à la production de batteries, de panneaux solaires, d’éoliennes ou de pompes à chaleur.

Le taux du crédit d’impôt serait établi à 20 % du montant des dépenses éligibles (le taux pourrait être porté de 25 % à 60 % en fonction du lieu d’investissement et de la taille de l’entreprise).

Le plafond de droit commun du crédit d’impôt serait de 150 millions d’euros par entreprise (porté à 200 millions et 350 millions pour les investissements dans certaines zones). 

Ce crédit d’impôt ne pourrait être accordé que sur agrément préalable délivré après avis conforme de l’Ademe (Agence de la transition écologique). 

  • Création d’un nouveau zonage « France Ruralité Revitalisation » et prorogation de certains dispositifs d’aides existant

L’article 7 du projet de loi de finances prévoit la prorogation des dispositifs applicables en principe jusqu’au 31 décembre 2023 (zones d’aides à finalité régionales, zones de développement prioritaire, zones de revitalisation du commerce en centre-ville, bassins urbains à redynamiser, zones d’aide à l’investissement des petites et moyennes entreprises). 

Aussi, les zones actuelles de revitalisation rurale, bassins d’emploi à redynamiser et zone de revitalisation des commerces en milieu rural seraient refondues en une zone unique « France Ruralité Revitalisation » dans laquelle s’appliqueraient les dispositifs de faveur d’exonération d’impôt sur les bénéfices, de taxe foncière et de CFE.

II. IMPOT SUR LE REVENU

  • Revalorisation des tranches du barème progressif

Les tranches du barème progressif de l’impôt sur le revenu seraient revalorisées de 4,8 %. Le nouveau barème serait donc le suivant :

Fraction du revenu imposable pour une partTaux d’imposition applicable à la tranche
Jusqu’à 11 924 €0 %
De 11 924 € à 28 797 €11 %
De 28 797 € à 82 341 €30 %
De 82 341 € à 177 106 €41 %
Supérieur à 177 106 €45 %

III. TVA

  • Modification du régime de la franchise en base (transposition directive)

L’article 10 du projet de loi de finances, qui transpose la Directive (UE) 2020/285 du 18 février 2020, prévoit de modifier d’une part le champ d’application territorial de la franchise en base de TVA et d’autre part les seuils d’application de la franchise.

S’agissant du champ d’application territorial, la franchise en base bénéficierait aux assujettis établis dans un état membre de l’Union Européenne dans leur état d’établissement mais également dans les autres Etats Membres, lorsque leur chiffre d’affaires n’excéderait pas 100 000 euros au niveau européen (lors de l’année précédente et en cours). 

S’agissant des limites d’application de la franchise en France, elles seraient désormais les suivantes :

 Chiffre d’affairesChiffre d’affaires pour les prestations de services (autres que les ventes à consommer sur place et prestations d’hébergement)
Année civile précédente85 000 €37 500 €
Année en cours93 500 €41 250 €

La franchise cesserait de s’appliquer immédiatement en cas de dépassement du plafond fixé pour les opérations de l’année en cours. Elle cesserait également de s’appliquer dans les autres Etats Membres en cas de dépassement du plafond global européen de 100 000 euros.

  • Modification du régime de TVA à l’importation et vente à distance en vue de lutter contre la fraude

Le projet de loi de finances pour 2024 prévoit un dispositif pour lutter contre la fraude à la TVA et plus particulièrement contre le « dropshipping » (pratique consistant pour un intermédiaire, à acheter un bien situé en territoire tiers et à le revendre en ligne en France sans jamais en disposer physiquement). Ces derniers deviendraient redevables de la TVA à l’importation sur les ventes à distance de biens importés.

IV. IMPOTS LOCAUX

  • Exonération de taxe foncière pendant 15 ans sur les logements sociaux achevés depuis moins de 40 ans

Le projet de loi de finances instaure une exonération de taxe foncière d’une durée de 15 années en cas de réalisation de travaux de rénovation importants en termes de performances énergétiques (permettant le passage d’une classe énergétique F ou G à une classe A ou B) et d’accessibilité, de sécurité d’usage sanitaire et de qualité sanitaire. L’exonération serait subordonnée à l’obtention d’un agrément et sa durée pourrait être portée à 25 ans pour les demandes d’agrément déposées jusqu’au 31 décembre 2025.

  • Suppression de la CVAE reportée (sauf pour les redevables de la cotisation minimum)

Le report annoncé de la suppression de la CVAE est aménagé par l’article 8 du projet de loi de finances qui prévoit une suppression totale à compter de 2024 de la CVAE pour les redevables de la cotisation minimum et une suppression définitive pour les autres redevables en 2027. Pour ces derniers, le taux serait progressivement abaissé à 0,28 % en 2024, à 0,19 % en 2025, à 0,09 % en 2026.

De même, le taux de plafonnement de la CET serait porté à 1,531 % pour 2024, à 1,438 % pour 2025, à 1,344 % pour 2026 et à 1,25 % compter de 2027.

V. CONTROLE FISCAL

  • Prix de transfert

Le seuil de chiffre d’affaires rendant obligatoire la constitution d’une documentation complète de la politique de prix de transfert et sa communication en début de contrôle serait abaissé à 150 millions d’euros (contre 400 millions actuellement). Parallèlement, le montant de l’amende pour non-respect de cette obligation serait porté de 10 000 € à 50 000 €.

Le projet de loi instaure également une présomption de transfert de bénéfices lorsque la méthode de détermination de prix de transfert déclarée n’est pas celle suivie.

Aussi, le délai de reprise de l’administration serait porté à 6 années pour lui permettre de procéder au contrôle des prix de cession d’actifs incorporels dont la valeur pourra être rectifiée en tenant compte des résultats postérieurs à l’opération.

  • Collecte des données disponibles en ligne et possibilité de procéder à des enquêtes sur internet et les réseaux sociaux

Le projet de loi proroge de deux années le dispositif expérimental permettant à l’administration de collecter des données sur les plateformes en ligne. Initialement restreint aux données librement consultables en ligne, le projet de loi de finances prévoit d’étendre la mesure à la collecte de données sur des plateformes nécessitant l’inscription à un compte.

L’administration pourrait également procéder à des enquêtes sur internet, les réseaux sociaux et messagerie en ligne en utilisant des pseudonymes.

  • Création d’un nouveau délit de mise à disposition d’instruments de facilitation à la fraude

L’article 20 du projet de loi de finances crée un nouveau délit de mise à disposition d’instruments de facilitation à la fraude puni de 3 années d’emprisonnement et de 250 000 € d’amende.

Le délit serait défini comme suit : « la mise à disposition, à titre gratuit ou onéreux, d’un ou plusieurs moyens, services, actes ou instruments juridiques, fiscaux, comptables ou financiers ayant pour but de permettre à un ou des tiers de se soustraire frauduleusement à l’établissement ou au paiement total ou partiel des impôts ».

La peine serait portée à 5 années d’emprisonnement et 500 000 € d’amende lorsque la mise à disposition serait commise en utilisant un service de communication au public en ligne.

  • Déroulement du contrôle en dehors des locaux de l’entreprise

L’article 23 du projet de loi de finances entérine la jurisprudence selon laquelle le contrôle fiscal peut se dérouler en dehors des locaux de l’entreprise. Cette faculté d’initiative de délocalisation du contrôle, qui n’était jusque-là que possible pour le contribuable, serait désormais offerte à l’administration. L’administration pourrait ainsi proposer un autre lieu avec l’accord du contribuable ou à défaut que le contrôle se déroule dans les locaux de l’administration.

ACD Avocats annonce l’intégration de RDT Avocats, renforçant ainsi sa présence dans le Grand Est

ACD Avocats, leader dans le Grand Est, est ravi d’annoncer l’intégration de RDT Avocats, cabinet reconnu en Moselle et établi à Metz.
Cette opération s’inscrit dans la stratégie d’expansion d’ACD Avocats en Moselle après le renforcement de l’une de ses positions, en début d’année, à Paris (acquisition des cabinets Bidon & Associés et ADEONE intervenant en restructuring, entreprises en difficultés et droit des affaires).

L’intégration de RDT Avocats s’aligne avec la raison d’être d’ACD Avocats d’accompagner activement l’économie locale et les acteurs régionaux, ici en Moselle et dans la Grande Région Sarre-Luxembourg.

ACD Avocats, reconnu pour son expertise en droit des affaires, renforce ainsi sa capacité d’intervention en matière de risques et de contentieux des entreprises tout en étoffant son pôle historiquement reconnu en droit social.

L’arrivée de l’équipe d’Hervé Renoux permet à ACD Avocats d’étoffer son offre de services afin d’accompagner ses clients sur les sujets complexes de contentieux des affaires ou en matière de prévention des risques et négociations.

Hervé Renoux, co-fondateur de RDT Avocats, déclare : « Nous sommes convaincus que cette fusion renforcera notre capacité à servir nos clients. Nous partageons les mêmes valeurs d’excellence juridique, de proximité avec nos clients et d’engagement envers nos régions. Nous sommes impatients de relever ensemble les défis futurs et de contribuer au succès de nos clients ».

Avec cette intégration, le pôle social d’ACD Avocats prend une dimension nouvelle, regroupant désormais plus de 25 professionnels dédiés. Cette équipe étoffée permet au cabinet d’offrir une palette complète de services couvrant l’ensemble du spectre du droit social : de la structuration du modèle social, aux relations individuelles et collectives, en passant par les interactions avec les représentants du personnel et les IRP. Elle assure également les aspects de RSE, les questions de sécurité sociale, la durée du travail, la formation professionnelle, les processus de restructuration/PSE, la santé et la sécurité au travail, mais aussi le statut de la fonction publique, ainsi que les méthodes de rémunération et la fidélisation des salariés. En matière de contentieux, le pôle social d’ACD Avocats intervient en matière de litiges prud’homaux, pénaux et URSSAF.

Frédéric Blaise, spécialiste en droit du travail, indique : « L’élargissement du pôle social, avec désormais plus de 25 experts à notre bord, est une avancée majeure pour le cabinet. Je suis enthousiaste à l’idée des synergies qui découleront de cette union et de la valeur ajoutée que nous apporterons à nos clients en Moselle et au-delà. »

Alexandra Duquesne-Theobald, spécialiste en droit du travail et co-fondatrice de RDT Avocats, commente : « Face aux défis actuels, une vision à 360° du droit social est indispensable, mais elle doit être appuyée par une équipe solide et agile. En intégrant ACD Avocats, nous serons en capacité d’offrir une expertise globale et flexible afin de répondre aux besoins évolutifs, quotidiens, stratégiques et conjoncturels de nos clients en droit social ».

Dans un marché juridique où la consolidation est devenue une question stratégique, ACD Avocats s’inscrit résolument dans une dynamique proactive. Le cabinet a pour ambition de renforcer ses positions stratégiques par l’intégration de nouveaux cabinets et confrères renommés en complément de son ADN de promotion interne. C’est dans cette optique que ACD Avocats continue son expansion dans le Grand Est, affirmant sa notoriété par l’arrivée de praticiens éminents et de leurs équipes.

Armin Cheval, Président d’ACD Avocats, souligne : « Notre engagement repose sur la proximité avec nos clients. Nous sommes convaincus que le tissu économique des régions mérite une attention et un service de qualité. L’intégration d’Hervé, Alexandra et leur équipe marque également notre volonté et notre capacité à attirer constamment de nouveaux talents, au sein d’une structure qui malgré sa croissance demeurera à dimension humaine ».

À propos de RDT Avocats

Avec plus de 20 ans d’expérience au sein des cabinets Richard-Mertz et Associés et KPMG AVOCATS, la SCP Renoux & Duquesne-Theobald réunit, deux Avocats Associés passionnés : Me Alexandra Duquesne-Theobald, spécialisée en Droit du Travail, experte en droit de la Sécurité Sociale, et Me Hervé Renoux, exerçant principalement en Contentieux des affaires (bancaire, immobilier, construction et responsabilité).
Leurs compétences complémentaires assurent à leurs clients un accompagnement réactif et une défense rigoureuse de leurs intérêts.

Retrouvez cette actualité dans les médias :

ACD Avocats renforce sa présence dans le Grand Est | La Gazette Moselle

ACD Avocats intègre RDT Avocats | Les Tablettes Lorraines

ACD Avocats étend ses compétences dans le Grand Est | CFNEWS

ACD Avocats renforce sa position dans le Grand Est